Joanna Harvelle * ADMIN FONDATRICE Determined Huntress
Nombre de messages : 398 <b>Age</b> : 22 ans <b>Profession</b> : Serveuse au Roadhouse <b>Adresse</b> : Pacific Hotel Restaurant, R108 Date d'inscription : 13/01/2008
* MY HIDDEN WORLD Possession/Pouvoir: // Groupe: Chasseuse Relations:
| Sujet: Alone Sam 26 Jan - 2:01 | |
| - Citation :
The Thames, Londres, 2008.
Comment cela est-ce possible ? Qui l'aurait crû ? Et surtout... pourquoi ? Pourquoi sommes-nous encore là ? C'est ces questions qui ont d'abord envahient nos esprits. Nous, les 50 derniers humains à Londres, nous ne comprenions pas ce qu'il s'était passé. Comment en une seule nuit plus de 7 millions de personnes peuvent-elles disparaitre sans laisser de traces ? La ville a été laissée telle qu'elle. Il n'y'a juste plus une âme qui vive... à part les nôtres. Non, ils ne sont pas morts. Qui pourrait tuer autant de gens en l'espace de 12 heures ? C'est tout bonnement impossible. Mais alors... que sont-ils devenus ?
C'est en ce nouveau mois de Janvier que cela s'est produit. Chacun d'entre nous avait loué une chambre à l'hôtel The Thames, un pur bijou connu dans tout le pays pour son luxe. Certains s'y trouvaient déjà pour des raisons personnelles... La majorité comptait fêter les fêtes de fin d'année en famille et avaient pris de courtes vacances histoires de rendre visite à Papy Jean et de visiter la capitale. Scènes banales, chaque année c'était comme ça. Avant aujourd'hui.
Hier soir, l'hôtel a organié une réception en l'honneur de la nouvelle année et des 50 ans de l'établissement. Une fête grandiose où coulaient le vin et le champagne. Même le directeur s'était déplacé pour l'evènement. Pratiquement tous les clients étaient là, la coupe à la main trinquant pour l'occasion. Je ne sais plus quand cela s'est fini. Sans doûte vers deux heures du matin facilement... Nous sommes retournés dans nos chambres, ivres et le ventre plein. Quand cela s'est il passé ? Aucune idée. Le lendemain, en nous réveillant, nous avons constaté le problème. L'hôtel étant situé en plein coeur de la ville, la circulation était normalement abondante. Mais ce matin là, nous n'entendions pas les bruits infernaux des klaxons. C'est un homme qui était sorti fumer qui nous a tous ammenés dehors. Le calme absolu. Les voitures étaient sur la route mais restaient immobiles. Personne à l'intérieur. Les commerces étaient ouverts, comme chaque jour de la semaine. Aucun clients. La ville était morte.
Voilà comment tout a commencé. Et ce n'était que le début. Des choses pires encore se sont déroulées par la suite. Elles auront eu beaucoup d'influence sur le moral de chacun. Nous avions beau utiliser tous les moyens de communication que nous connaissions, personne ne répondait.
C'est comme si nous étions seuls au monde,
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